Jeep Wrangler TJ 4.0 Sahara BVM6
2006 / 93 700 km
Jeep Wrangler TJ 4.0 Sahara BVM6
Sale price€0,00
Specifications
Marque
Jeep
Année
2006
M.E.C.
Puissance Fiscale
14.0
Cylindrée
3.96
TVA récupérable
Non
Kilométrage
93 700 km
Couleur intérieure
Cuir noir
Couleur extérieure
Vert Army mat
Carburant
Essence
Boîte de vitesse
Manuelle
Historique
Intemporelle, tout simplement.
Descendante de la légendaire Willys, la Wrangler incarne un certain art de vivre à l'américaine. Sa ligne indémodable et ses aptitudes au tout-terrain font de ce 4x4 un véhicule très attachant. Surtout avec un bon vieux six en ligne sous le capot.
L’appellation Wrangler remonte à 1987, date à laquelle American Motors —propriétaire de Jeep— vend la marque au groupe Chrysler. Le premier modèle (type YJ), dont la particularité est de posséder des optiques rectangulaires, sera remplacé en 1996 par la version à phares ronds que nous présentons aujourd'hui (type TJ).
La finition Sahara de notre exemplaire constituait le plus haut niveau de finition embarquant ainsi la climatisation, le régulateur de vitesse, l'ABS, les jantes aluminium, un système audio de qualité supérieure... Celui-ci s'octroie même le raffinement d'une sellerie cuir!
Et quel look mes aïeux ! La frime est assurée et même les conducteurs de Porsche cabriolet ne pourront s’empêcher de vous lancer un petit regard jaloux. Il faut dire qu’à bord de la Wrangler, on domine la circulation cheveux au vent.
A l’image de la ligne, l’habitacle vieillit plutôt bien. La console centrale peinte de couleur argent regroupe l’excellente installation audio, les commandes de ventilation/climatisation et la désactivation du coussin de sécurité passager. Qui a dit que la Jeep n’était pas moderne ?
Longue de seulement 3,88 m, la Jeep Wrangler offre pourtant une habitabilité suprenante, que bien des cabriolets pourraient lui envier. L’espace est tout simplement généreux à l’arrière et l’on regrette juste l’absence d’un repose-tête. Pour le reste, l’américaine est la monture idéale pour cruiser sur les petites routes ou en bord de plage.
La Wrangler TJ est la dernière Jeep à étrenner le six cylindres en ligne de 4,0 litres. Ce bloc est bien connu en France, puisqu’il a équipé avec succès de nombreux modèles du spécialiste américain. Si son rendement est aujourd’hui largement dépassé, il avoue de beaux restes. Outre sa sonorité inimitable, ce bloc en fonte jouit d’une belle souplesse et d'une robustesse à toutes épreuves.
Fort de 177 ch et 296 Nm de couple (à 3.500 tr/min), le 4,0 litres propulse la Wrangler à plus de 170 km/h et lui permet de passer de 0 à 100 km/h en 10,6 secondes. Cet exemplaire jouit d'une boîte mécanique à 6 rapports, rarissime...
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les dessous de la Jeep ne sont pas archaïques. Depuis 1996, la Wrangler est dotée de suspensions à ressort, même si elle conserve ses ponts rigides. L’assistance de direction n’étant pas trop prononcée, elle s’avère assez facile à prendre en main. Le comportement routier se montre plutôt sécurisant (en conduite décontractée), même s’il faut éviter d’accélérer trop fort en sortie de virage.
En effet, l’auto se comporte comme une propulsion en temps normal et le passage en 4 roues motrices n’est recommandé que lorsque la météo se fait vraiment capricieuse et bien sûr, pour la pratique du tout terrain. En revanche, le freinage manque de mordant et il ne faut pas hésiter à écraser la pédale du milieu lorsque le besoin s’en fait ressentir.
Si sa ligne n’a pas évolué radicalement depuis vingt ans, la Wrangler TJ est sans conteste la plus désirable de toutes.
Intemporelle, tout simplement.
Descendante de la légendaire Willys, la Wrangler incarne un certain art de vivre à l'américaine. Sa ligne indémodable et ses aptitudes au tout-terrain font de ce 4x4 un véhicule très attachant. Surtout avec un bon vieux six en ligne sous le capot.
L’appellation Wrangler remonte à 1987, date à laquelle American Motors —propriétaire de Jeep— vend la marque au groupe Chrysler. Le premier modèle (type YJ), dont la particularité est de posséder des optiques rectangulaires, sera remplacé en 1996 par la version à phares ronds que nous présentons aujourd'hui (type TJ).
La finition Sahara de notre exemplaire constituait le plus haut niveau de finition embarquant ainsi la climatisation, le régulateur de vitesse, l'ABS, les jantes aluminium, un système audio de qualité supérieure... Celui-ci s'octroie même le raffinement d'une sellerie cuir!
Et quel look mes aïeux ! La frime est assurée et même les conducteurs de Porsche cabriolet ne pourront s’empêcher de vous lancer un petit regard jaloux. Il faut dire qu’à bord de la Wrangler, on domine la circulation cheveux au vent.
A l’image de la ligne, l’habitacle vieillit plutôt bien. La console centrale peinte de couleur argent regroupe l’excellente installation audio, les commandes de ventilation/climatisation et la désactivation du coussin de sécurité passager. Qui a dit que la Jeep n’était pas moderne ?
Longue de seulement 3,88 m, la Jeep Wrangler offre pourtant une habitabilité suprenante, que bien des cabriolets pourraient lui envier. L’espace est tout simplement généreux à l’arrière et l’on regrette juste l’absence d’un repose-tête. Pour le reste, l’américaine est la monture idéale pour cruiser sur les petites routes ou en bord de plage.
La Wrangler TJ est la dernière Jeep à étrenner le six cylindres en ligne de 4,0 litres. Ce bloc est bien connu en France, puisqu’il a équipé avec succès de nombreux modèles du spécialiste américain. Si son rendement est aujourd’hui largement dépassé, il avoue de beaux restes. Outre sa sonorité inimitable, ce bloc en fonte jouit d’une belle souplesse et d'une robustesse à toutes épreuves.
Fort de 177 ch et 296 Nm de couple (à 3.500 tr/min), le 4,0 litres propulse la Wrangler à plus de 170 km/h et lui permet de passer de 0 à 100 km/h en 10,6 secondes. Cet exemplaire jouit d'une boîte mécanique à 6 rapports, rarissime...
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les dessous de la Jeep ne sont pas archaïques. Depuis 1996, la Wrangler est dotée de suspensions à ressort, même si elle conserve ses ponts rigides. L’assistance de direction n’étant pas trop prononcée, elle s’avère assez facile à prendre en main. Le comportement routier se montre plutôt sécurisant (en conduite décontractée), même s’il faut éviter d’accélérer trop fort en sortie de virage.
En effet, l’auto se comporte comme une propulsion en temps normal et le passage en 4 roues motrices n’est recommandé que lorsque la météo se fait vraiment capricieuse et bien sûr, pour la pratique du tout terrain. En revanche, le freinage manque de mordant et il ne faut pas hésiter à écraser la pédale du milieu lorsque le besoin s’en fait ressentir.
Si sa ligne n’a pas évolué radicalement depuis vingt ans, la Wrangler TJ est sans conteste la plus désirable de toutes.