En 2014, Maserati soufflait ses 100 bougies et pouvait se permettre de bomber le torse! L’année commençait sur les chapeaux de roue avec une augmentation des ventes de plus de 500% en France par rapport à l’année précédente. Cette performance, Maserati la devait à la résurrection d’un noble nom, celui de « Ghibli ».
Alors que la première du nom, présentée au Salon de l’auto de Turin en 1966, était un coupé au style splendide et au luxe fait de puissance et de confort, la nouvelle venue vient concurrencer les berlines routières allemandes. Elle s’attaque aux Audi A6 et BMW Série 5 et n’a d’autre choix pour cela que de s’offrir les services d’une motorisation… diesel. Il s’agit d’un V6 de 3 litres, d’une puissance de 275 chevaux et d’un couple de 600 Nm. Des valeurs fort généreuses, associées à une boîte automatique à 8 rapports et qui permettent d’expédier le 0 à 100 km/h en 6,3 secondes seulement. Côté transmission, La Ghibli diesel dirige sa cavalerie vers les seules roues arrière.
La Ghibli est en outre belle, racée, confortable et dynamique. Tous ces termes ont constitué l’ADN de la marque, mais cette liste serait incomplète si nous n’évoquions pas la sonorité des mécaniques Maserati. Avec le temps, Maserati s’est en effet forgé une réputation de fin mélomane, avec les mélodieux V8 qui garnissent la gamme et qui éructent d’une divine clameur. La Ghibli diesel ne déçoit pas non plus sur ce registre! Grâce à un système baptisé « Maserati Active Sound » et doté de deux actuateurs sonores, le V6 mazouté gronde sourdement d’une sonorité évocatrice lorsque le conducteur appuie sur le bouton sport.
Notre exemplaire est d’origine française, nous vous laissons découvrir son historique et sa configuration :